Salut les copeaux est une petite entreprise composée de 17 salariés et forte de 14 années d’expérience, elle réalise un chiffre d’affaire de 150 000 euros/an, et produit chaque mois 6 tonnes de bois. Ces produits sont vendus dans quatre pays à l’exportation notamment dans des pays européens, mais pas en Italie, faute de goût.
Claude G, patron au style « m’as-tu-vu », sonne l’alerte d’un audit très prochain chez Salut les copeaux. On découvre sa relation ancienne avec Cindy. Un flash back sur leur premier rendez-vous nous permet d’apprécier toute la passion de Claude pour son métier, il offre un Darac à Cindy et lui évoque la Hollande. Pendant ce temps-là, Claudia, la nympho de la boite, chauffe le dernier arrivé : Pierre Angeli au bel accent italien. Il prend des notes en écrivant tout sur son bas droit et se confie longuement à son meilleur ami qui ne dit mot. L’audit se passe bien et Cindy est promue contre toute attente à la Direction Marketing laissant son poste de calibrage des copeaux à Pierre Angeli.
Le dindon c’est finalement Henri ! Il est toujours aux petits soins pour sa mère dont la dernière bronchite l’affecte beaucoup. Ayant reçu 1 euro de prime cette année, il s’inquiète que le coût de son virement ne soit plus élevé que le montant de sa prime. Finalement, sous le poids des quolibets dû au faible montant de sa prime, Pierre Angeli démissionne et prend une meilleure position chez un concurrent. Il reçoit des bretelles et une chanson : « Casse-toi Henriiii… », un bon vieux blues joué par un autre porteur de bretelles.
[poll id= »2″]