Kirikou est une société numismatique. Le patron, Jean, décide de remettre la numismatique à la mode, pour qu’elle remplace les Pokemons dans les cours d’écoles.

Huguette, la directrice des achats est ravie de cette nouvelle stratégie, car elle sent que son métier n’intéresse pas ses amis de son âge. Ce n’est pas le cas de Mélusine qui veut absolument quitter l’entreprise. Elle cache à tout le monde son caractère violent et sa haine pour ses collègues.

Jean décide de recruter un nouveau directeur marketing, jeune mais avec de l’expérience. Malgré un salaire approximatif, 75000 gE, pour « grammes d’euros », Kevin rejoint la société, pour donner du « jeune » même si il n’y connait rien à la numismatique.

Sébastien, l’ancien de la société, est d’abord déstabilisé par cette arrivée. Mais il se rend très vite à l’évidence : c’est cool d’être cool, surtout en portant des chemises à fleurs et perruques des années 80.

Le changement de stratégie fonctionne et Kirikou fait des ventes, multiplie les fans sur sa page Facebook (Jean se demande si les fans sont présents sur tous les ordinateurs !). Point d’orgue de cette stratégie, Sébastien devient la mascotte de l’entreprise en chantant « la numismatie c’est fun, c’est sympa pour tous les jeunes ».

Coup de théâtre, Jean renvoie Kévin car « ça se fait dans les séries télé ». Huguette n’est pas d’accord ; elle convainc Jean d’annuler le licenciement, car « on n’est pas dans Mad Men ».

Pour fêter tout ça, les salariés décident de tourner un clip sur l’air de « la numismatie c’est fun, c’est sympa pour tous les jeunes », déguisés en pièce de monnaie. Tout le monde est content, même Mélusine, qui ne tente « que » d’étrangler Jean.