L’ABRICOT est un entreprise de camelots dont la patronne, Martine, souhaite élargir l’activité en vendant des denrées périmées. Moins chers, pas si mauvais que ça et appréciés des clients, ces produits sont le filon parfait !
Jean-Luc, le plus ancien vendeur de l’ABRICOT, travaille à l’ancienne : démonstrations sur les marchés, harangue des foules, complices trainant près de son stand, etc. Son produit phare du moment est un toasteur manuel avec lequel il impressionne la ménagère… Et c’est bien la raison pour laquelle ses collègues le prennent pour un vieux schnocque.
David est un jeune commercial formé aux marchés à l’ancienne méthode et inapte technologiquement, il se lance pourtant avec l’autre David de l’entreprise dans l’aventure Internet, en rupture avec l’ancienne génération. C’est lorsqu’il oublie la hiérarchie et tutoie la patronne que son cas s’aggrave…
L’autre David, dynamique et très à la page des nouvelles technologies, porte sur ses épaules le renouveau de l’entreprise : L’ABRICOT en ligne, produits de camelots sur Internet. Pourtant, lorsque l’équipe découvre ses origines britanniques, il se retrouve en position difficile et obligé de se justifier.
Dans la lutte des générations qui s’installe, Delphine prend la défense des vieux et notamment de Jean-Luc lors de l’altercation qui l’oppose à David, ainsi qu’à David. Car Delphine écoute mais ne juge pas, ni les vieux ni le reste. C’est une règle qu’elle a apprise dès son entretien d’embauche avec Martine, lorsque celle-ci lui avoua une vie bien seule en dehors du travail, sans passion ni conjoint. La patronne le dit elle-même, c’est peut-être ce manque d’activité qui lui fait un gros cul. Ca et la tomme périmée
Jean-Luc, tente tant bien que mal de prendre le virage technologique et fait une proposition de logo pour le site de L’ABRICOT à sa patronne. La présence d’une araignée sur ce logo l’envoie directement en rendez-vous chez son psy.
Martine avouera plus tard difficilement être enceinte de Jean-Luc, entre moment d’égarement et tentative de la dernière chance. Elle part en congé maternité, après avoir sabré le champagne et laissé les clés de la société à David. Non, l’autre David.
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